lundi 2 janvier 2012

Un week-end chargé pour les redresseurs du FLN de Bejaia

Les lésés dans le parti renoues avec les redresseurs du FLN de Bejaia
 
«On a vécu un bruit traumatisant et aussi lourd dans les années 2003/2004, aujourd’hui nous constatons avec amertume qu’il  a refait surface.  Alors nous avons été surpris et ont a décidé d’agir».
Le bureau des redresseurs FLN de la willaya de Bejaia ont organisées, en  ce  week-end de la fin de l’année 2011 et le nouvel an une rencontre avec les militants et sympathisants du FLN, ou ils ont exécuter une si longue tournées à travers différentes ville et villages de la wilaya de Bejaia.
Outre, le samedi 31 décembre, les rencontres ont eu lieu avec les kasmates de la vallée à savoir : Sidi Aich, Akbou, Tazmalt, Beni Malikech et Ighil Ali. Avec les responsables du Mouvement de redressement du FLN à leur tête M. Boukemche Ali.  plusieurs questions relatives aux activités du mouvement, d’une manière générale et au parti en particulier ont été abordées.  A l’issu de cette rencontre qui a permis aux militants et aux sympathisans de mieux cerner la situation politique interne et externe de leur parti, les militants se sont fixées des rendez-vous pour œuvrer à la stabilité du parti.  «Nous sommes des  communicatifs  dans notre parti,  exactement comme on ai  dans la vie, certes, notre parti faisait  chaque fois coulé beaucoup d’encre,  parce que on constate des dérives, comme si la cassure avait dominé notre hizb.  Le problème? Il n y a ni militant ni personne qui doute aujourd’hui, que se soit vrai,   Alors il est temps de relever les gants, les législatifs approchent et on doit gagner». Déclare le responsable des redresseurs M. Boukemche.
Toujours en ce debut de l’année 2011, les membres du mouvement de redressement de Bejaia se sont retrouvé au littora. Au fil de ces rencontres nous decouvrons un peu plus de monde à leur coté, ces acceptations les a permis à aller à leurs écoutes, mais le resultat n’a malheureusement pas toujours été à la hauteur de leurs attentes, force est de constater que le chemin est encore long.

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