jeudi 23 mai 2013

Logements publics / Cession prochaine à leurs locataires à des prix étudiés

lecitoyendz.com
Le ministre de l’Habitat et de l’Urbanisme, Abdelmadjid Tebboune, a annoncé la cession prochaine des logements relevant des Offices de promotion et de gestion immobilière (OPGI) mis en exploitation avant 2004 au profit de leurs locataires qui bénéficieront d’avantages au niveau des prix et des délais de paiement. Le nombre de logements entrant dans le cadre de cette nouvelle opération avoisine les 571.000 unités et seront cédés à leurs locataires à des «prix très bas», a indiqué le ministre dans une déclaration mardi soir à la télévision algérienne. Cette opération concerne les habitations en location avant le 31 décembre 2004, a ajouté le ministre qui n’a pas exclu la reconduction de cette opération pour les logements en location après 2004. Le prix de référence du m2 a été fixé à 12.000 da en prenant en compte le lieu d’implantation des logements dans un souci d’»équité», selon le ministre. Le prix du logement à Alger variera entre 750.000 da et 1,28 million de da tandis que les logements situés dans les wilayas du sud à l’instar d’Adrar et de Tindouf seront cédés à près de 30.000 da, a précisé le ministre qui a affirmé que le montant des loyers versés par les locataires sera déduit de la valeur du logement. Les locateurs désireux d’acquérir leur logement dans le cadre de cette opération bénéficieront d’une réduction de 10% dans le cas du paiement au comptant, de 7% dans le cas de l’acquisition en trois ans et de 5% si la période de versement de la somme requise varie entre 3 et 7 ans. Pour ceux qui désirent échelonner les versements sur un délai n’excédant pas 20 ans ils devront verser 5% du prix exigé. Les moudjahidine et ayants droit bénéficieront d’une réduction de 40% du prix du logement. Les personnes intéressées devront fournir un dossier à la commission présidée par le chef de daïra du lieu de résidence avant le 31 décembre 2015. le dossier doit comporter les reçus de paiement des loyers. Le dossier sera étudié par la commission de daïra et envoyé après acceptation à l’inspection des biens de l’Etat territorialement compétente pour évaluation du foncier. La commission rendra sa décision dans un délai n’excédant pas trois mois à compter de la date de dépôt de la demande. Le demandeur pourra introduire un recours à la commission présidée par le wali dans un délai d’un mois à compter de la date de la réception de la notification. Cette commission de wilaya se charge d’étudier et de trancher ces recours dans un délai d’un mois de la date de l’introduction du recours. Pour le ministre, cette opération est une nouvelle opportunité pour les revenus moyens et bas d’acquérir leur logement a des prix accessibles. Le ministère de l’habitat avait entamé la même procédure entre 2003 et 2010 mais l’opération n’avait pas abouti en raison des prix élevés, selon M. Tebboune.

mercredi 24 avril 2013

"Décampez ces ennemis de notre parti!" témoigne Regrette M. Abdelli



Où va le p/ du (FLN)
  
Le front de libération nationale a vécu et continue à vivre des moments politique interne difficiles. De guerre en guerre, en plus de la vacance du poste de  secrétaire général, cela prouve que le chemin est long pour sortir du tunnel.

Un bruit s’est fait entendre dans la maison et la base militante du parti du front de libération nationale, ces derniers gèrent  les orientations politiques au minimum au risque de prendre du temps. Le député de la première législature  M. Abdeli Madjid en l’occurrence que nous avons contacté pour nous donné plus de précision se dit bouleversé.  «Notre parti FLN a tout le temps surmonté ces crises depuis trabeles, passant par le grand militant Abdelhamid Mehri et à l’arrivé de M. Belkhadem la crise s’est aggravé et devenu permanente, cela due probablement aux intérêts matériaux et personnels, choses qui vont à l’encontre des principes inscrite dans le statut et la morale militantisme acquit par le sangs et la sueur de ceux qui ont libéré glorieuse. Nous a-il déclaré lors de sa visite à notre rédaction. Loin de mâcher ces mots, même s´ils évitent de s´attaquer frontalement à ceux qui sont aujourd’hui derrière ce mal, «depuis l’arrivé de M. Belkhadem à la tête du FLN, des contradictions sont apparus en flagrant à l’intérieur  des structures  du parti, par la non respect des textes, violations de la volontés de la majorité au niveau de la base, surtout le choix de l’encadrement à différentes niveaux…. c’est ce qui a ouvert les portes aux opportunistes, des affairistes et surtout politico-économiques, résultat à travers toute l’Algérie, connu pendant le choix des candidature aux élections local et nationale. Pour preuve, ne peut être parmi les premiers de la liste  sauf les amis, les proches au même ceux qui peuvent ramené «chekkara» comme le surnomme les citoyens, alors que les meilleurs enfants militants engagé ont été écarté au détriment des meilleurs militants qui sont une base militante et populaire, leurs expériences qui a été remplacé par les affairistes et les nouveaux arrivées. toutefois, souhaitons que, les vrais militants de notre parti qui ont souffert pour le maintenir comme première puissance politique manifeste à souder les rangs et le faire sortir du tunnel et des mains  de la mafia politico-financié qui milite pour son transfère comme un registre de commerce».
Au vu des faits constatés dans les kasmates de la wilaya de Bejaia, les  nombreux militants et cadres accusent ses infiltrés d´avoir alimenté et renforcé cette crise afin d´en profiter aux autres partis et affaiblir le FLN. «il est utile de mettre en garde contre l’anarchie qui risquant de bloquer le travail des différentes structures de l’Etat, surtout que nous somme nous sommes à la veille des grands événements historique : l’amendement de la constitution et les élection présidentiel».  Ajoute M. Abdeli.

                                                                                      

dimanche 3 février 2013

«Renforcer le caractère démocratique de l’Etat»

MPA Amara Benyounès évoque la prochaine révision de la constitution
Pour se doter d’une vision commune et éviter les divergences dans la gestion, le secrétaire général du MPA, Amara Benyounès, a réuni, hier au siège de l’UGTA, les 48 fédéraux de  wilayas du pays en vue de tracer la ligne à suivre et la politique à adopter.
C’est ainsi que, dans son discours d’ouverture, le secrétaire général du Mouvement Populaire Algérien, Amara Benyounès, a affirmé que le moment est venu pour donner l’image d’un parti « sérieux qui sait ou il va ». Les résultats réalisés durant les dernières échéances électorales, que ce soit aux législatives ou aux locales, font que son parti est devenu si convoité qu’il est nécessaire, aujourd’hui, de le hisser à un rang plus important. «Notre objectif est d’arriver en 2014 avec un parti fort. A cet effet, nous devons fournir des efforts sur le terrain pour élargir notre base », a indiqué le secrétaire général. A l’endroit des 48 fédéraux, Amara Benyounés a évoqué la prochaine révision de la constitution, qu’il considère comme « un projet de société pour l’Algérie ». A cet effet, le parti prépare, pour l’instant, les échéances les plus proches, dont la révision de la Constitution. Pour ce rendez-vous, le MPA, ajoute-t-il, « a formulé quatre propositions. Il s’agit de la préservation et du renforcement du caractère démocratique et républicain de l’Etat. En matière de régime, nous avons toujours exprimé notre préférence pour le système semi-présidentiel, tel qu’il existe actuellement, avec des prérogatives identifiées pour le gouvernement et davantage de pouvoir de contrôle pour le Parlement. Nous considérons aussi que le bicaméralisme parlementaire, c’est-à-dire le maintien du Conseil de la nation, est un impératif stratégique. Il faut consacrer constitutionnellement toutes les libertés». Amara Benyounès prédit, à l’occasion de cette révision constitutionnelle, une lutte acharnée entre deux courants antinomiques, «les démocrates et les conservateurs». Il appelle, ainsi, à une union du courant démocratique. Toujours à l’endroit des fédéraux, Amara Benyounés, les a exhorté à faire du MPA un parti qui doit exister dans toutes les wilayas du pays, et non pas se contenter d’une tribune dans le microcosme algérois. Une façon, pour le secrétaire général, de hisser le parti à un rang meilleur. Et les résultats acquis dans les consultations populaires attestent bien qu’il est ancré dans l’Algérie profonde. Par ailleurs, au sujet des derniers développements sur la scène internationale, l’orateur, tout en apportant son soutien à toutes les révolutions dans le Monde arabe, a posé la question de savoir pourquoi ces révolutions n’ont pas touché les monarchies du Golfe. «Quand il y a un quelconque chahut, dans ces pays, il est vite étouffé », soutient le secrétaire général du MPA, qui laisse la question posée.  Enfin, avant d’annoncer l’organisation d’un Congrès du parti à la fin du moins de juin prochain, Amara Benyounés, a, encore une fois, exhorté les fédéraux à faire preuve de sérieux, tout au long de leur gouvernance, afin, pourquoi pas, de faire du parti la première force politique du pays.      
Ferhat Zafane    

dimanche 6 janvier 2013

Barbacha : Les candidats du PST répondent au wali

Suite aux plaintes déposées par le wali de Béjaia Hamou Ahmed Touhami et le nouveau P/APC de Barbacha contre Mohand Sadek Akrour, le maire sortant et deux autres élus PST de la commune, le premier candidat du PST a Bejaia M.S. Akrour a décidé d’agir en déposant à son tour une plainte contre le premier responsable de la wilaya, selon les révélations du plaignant lors d’une conférence de presse animée avec le SG du PST, Mahmoud Rachdi, dimanche. Le mairev sortant de Brabacha accuse le wali d’avoir agi illégalement en installant le nouveau maire de Barbacha après le délai prescrit par la Loi, à savoir le 14 décembre au lieu du 17. Ce qui constitue une violation de l’article 64 de la loi communale et de l’article 80 de la loi électorale. Le plaignant reproche au wali de Béjaia, en second lieu de n’avoir pas adressé d’invitation officielle aux élus PST pour assister au second tour des élections et l’installation du nouveau P/APC de Barbacha. »Il faut savoir aussi que les décisions de « fin de fonction » ont été signées le 17 décembre », a-t-il précisé. L’anarchie qu’a suscitée la décision de ministre de l’Intérieur d’organiser des seconds tours dans certaines communes se poursuit. A Béjaia, ce sont au moins trois communes qui ont été victimes de ce complot venu d’en haut, en l’occurrence Akbou, Barbacha et Ath Mlikech. Dans ces trois communes les populations se sont manifestées dans la rue pour réclamer la restitution de leurs voies et exprimer leur refus des candidats  issu des alliances de tout genre et installés par les autorités de la wilaya. A Barbacha, l’accès a l’APC et a la daïra demeure fermé par les citoyens qui se sont constitués en Assemblée Générale, tenue chaque jour pour permettre aux affaires de la commune de fonctionner en service minimum et discuter de la suite à accorder aux résultats des élections. Le nouveau maire installé au siège de la wilaya est toujours persona non grata à l’APC de Barbacha, selon des témoignages qui nous ont parvenus. Selon nos sources, les habitants estiment que la population a un droit à un deuxième tour des élections pour élire son maire conformément à l’article 41 du code communal. Mohand Sadek Akrour, maire sortant de Barbacha qui rejette toute responsabilité dans la fermeture de l’APC et de la daïra se dit favorable à la proposition de la population : « Nous sommes prêts à remettre nos mandats et nous invitions les autres élus à faire de même pour aller à un deuxième tour des élections ». Selon lui l’article 41 du code communal invite les autorités à dissoudre l’APC et tenir un deuxième tour des élections, note-t-il.

mercredi 2 janvier 2013

Aokas/ Etre au service de la population, c’est aller au delà de ses attentes

BEJAIA/ Un jeune à  Aokas au commande d’une municipalité

 On l’a longtemps attendu et longtemps imaginé M. Lagha Mohamed la quarantaine puisque c’est de lui qu’il s’agit, il a été affecté lors du déroulement des élection locale de 29 novembre 2012 par une masse populaire pour prendre le fauteuils de l’immeuble de l’APC,  afin de gérer les affaires de cette charmante ville côtière.
Que de chemin parcouru par ce jeune montagnard, fils de paysan, devenu le premier jeune au règne d’une municipalité qui compte 13000 habitants. M. Lagha Mohamed débuté de rien,  simple adhèrent au sein du parti politique appelé Rassemblement pour la Culture et Démocratie (RCD) puis militant, ce qui fait de lui un homme  plutôt comblé, souriant et le voila président de l’APC. Différend des autres élus et plusieurs indices le caractérisent. La majorité des habitants de cette région ont un jugement un peu plus sévère envers les élus passé par cette APC en matières dites impopulaires, fausses promesses où ces derniers orienter exclusivement réservé aux gens proches «politiques, familles et amis».  «Entrer», ne faite aucun souci, nous n’avons rien à cacher, tapez sur la porte et voir s’il n y a personne dans mon bureau et rentrer, je reçoit tous le monde, qu’il soit jeune ou moins jeunes, vieux ou vieilles, employés : étudiants où la presse ». C’est avec  ce type de discours que le M. LAGHA nous a accueilli lors de notre tournée d’information le jeudi dernier dans son bureau situé au 2em étage de l’immeuble de l’assemblée populaire communale d’Aokas. L’heure du terminus a sonné devant le programme de ce groupe d’élus, M. Lagha. semble un peu déçu, puisque Mohamed a été 1er vice président de cette APC, mais il ne fait que chauffé la chaise de son bureau, de ce fait, s’engagea de faire d’Aokas un bon modèle pour que suivre toutes les communes du pays «j’aimerais bien faire, nous avons établis un programme pour notre ville mais hélas….Ce ne sont pas de vaines paroles,  je tiens à vous dire que nous mettrons toute notre professionnalismes et notre disponibilités au service de nos concitoyens, à démarrer par l’administration….la protection de l’environnement, le tourisme, la protection sociale, l’approchement et l'amélioration de la santé des populations dans les villages qui par ailleurs reste un défi majeur,  l’habitat rural,  notamment le gaz de ville, l’agriculture, sport et loisir et des projets d'urgences d'Infrastructure Urbaines. Aussi nous envisagerons de créer une commission sanitaires  et d'intervention en vue de la protection sanitaire des populations contre les gravités de la décharge publique. Nous savons que la population a supporté énormément ces nuisances du fait de sa proximité, nous ne resterons pas indifférents face à leurs détresses. Nous irons dans le sens de l'amélioration de leurs conditions de vies» a signifié M. Lagha. A une question de savoir sur l’avenir de habitants de la cité de recasement qui à chaque fois montent pour bloqué la RN 9 et la fermeture de l’abattoirs, M. Lagha a répondu que le problème des 9 familles réside au niveau de l’agence foncière de Bejaia, je pense qu’il a été réglé. Concernant l’abattoir, cela ne dépend pas de notre volonté, il a été fermé par décision du Wali que ce dernier a basé sur le rapport du service d’hygiène. Au sujet des projets d’utilité public et au vu des quartiers d’Aokas qui se dégradent de jour en jour et sont de plus en plus sales. Les rues, les artères et les façades des édifices du vieux Aokas sont dans un état désastreux, notre commandant se contente de dire que nous faisons ce que nous pouvons. «les projets de la ville n’ont connaissent jamais  un heureux aboutissent,  les autorités communale, en l’occurrence les maires passés  n’ont  rien fait dans ce sens». Ajoutent notre interlocuteur.
Enfin, même de l’avis des citoyens, que nous avons rencontré à notre sortie de l’APC, ces derniers partagent cet avis, ils reconnaissent que la ville n’a pas bénéficié de grand-chose. ils souhaitent que l’équipe dirigeante actuelle soit à la hauteur, mieux intégrée à la bonne gestion de la commune, surtout sur le plan social, comme exemple, limité la multiplication des «dépôts de boissons alcoolisées» et la présence en cascade c’est derniers temps des prostituées sur la vois publique, sources de …. Et de ce que nous appelons le centre de tous les dégâts sociaux. Ces phénomènes dangereux ont pollués nos villes et villages.