dimanche 6 janvier 2013

Barbacha : Les candidats du PST répondent au wali

Suite aux plaintes déposées par le wali de Béjaia Hamou Ahmed Touhami et le nouveau P/APC de Barbacha contre Mohand Sadek Akrour, le maire sortant et deux autres élus PST de la commune, le premier candidat du PST a Bejaia M.S. Akrour a décidé d’agir en déposant à son tour une plainte contre le premier responsable de la wilaya, selon les révélations du plaignant lors d’une conférence de presse animée avec le SG du PST, Mahmoud Rachdi, dimanche. Le mairev sortant de Brabacha accuse le wali d’avoir agi illégalement en installant le nouveau maire de Barbacha après le délai prescrit par la Loi, à savoir le 14 décembre au lieu du 17. Ce qui constitue une violation de l’article 64 de la loi communale et de l’article 80 de la loi électorale. Le plaignant reproche au wali de Béjaia, en second lieu de n’avoir pas adressé d’invitation officielle aux élus PST pour assister au second tour des élections et l’installation du nouveau P/APC de Barbacha. »Il faut savoir aussi que les décisions de « fin de fonction » ont été signées le 17 décembre », a-t-il précisé. L’anarchie qu’a suscitée la décision de ministre de l’Intérieur d’organiser des seconds tours dans certaines communes se poursuit. A Béjaia, ce sont au moins trois communes qui ont été victimes de ce complot venu d’en haut, en l’occurrence Akbou, Barbacha et Ath Mlikech. Dans ces trois communes les populations se sont manifestées dans la rue pour réclamer la restitution de leurs voies et exprimer leur refus des candidats  issu des alliances de tout genre et installés par les autorités de la wilaya. A Barbacha, l’accès a l’APC et a la daïra demeure fermé par les citoyens qui se sont constitués en Assemblée Générale, tenue chaque jour pour permettre aux affaires de la commune de fonctionner en service minimum et discuter de la suite à accorder aux résultats des élections. Le nouveau maire installé au siège de la wilaya est toujours persona non grata à l’APC de Barbacha, selon des témoignages qui nous ont parvenus. Selon nos sources, les habitants estiment que la population a un droit à un deuxième tour des élections pour élire son maire conformément à l’article 41 du code communal. Mohand Sadek Akrour, maire sortant de Barbacha qui rejette toute responsabilité dans la fermeture de l’APC et de la daïra se dit favorable à la proposition de la population : « Nous sommes prêts à remettre nos mandats et nous invitions les autres élus à faire de même pour aller à un deuxième tour des élections ». Selon lui l’article 41 du code communal invite les autorités à dissoudre l’APC et tenir un deuxième tour des élections, note-t-il.

mercredi 2 janvier 2013

Aokas/ Etre au service de la population, c’est aller au delà de ses attentes

BEJAIA/ Un jeune à  Aokas au commande d’une municipalité

 On l’a longtemps attendu et longtemps imaginé M. Lagha Mohamed la quarantaine puisque c’est de lui qu’il s’agit, il a été affecté lors du déroulement des élection locale de 29 novembre 2012 par une masse populaire pour prendre le fauteuils de l’immeuble de l’APC,  afin de gérer les affaires de cette charmante ville côtière.
Que de chemin parcouru par ce jeune montagnard, fils de paysan, devenu le premier jeune au règne d’une municipalité qui compte 13000 habitants. M. Lagha Mohamed débuté de rien,  simple adhèrent au sein du parti politique appelé Rassemblement pour la Culture et Démocratie (RCD) puis militant, ce qui fait de lui un homme  plutôt comblé, souriant et le voila président de l’APC. Différend des autres élus et plusieurs indices le caractérisent. La majorité des habitants de cette région ont un jugement un peu plus sévère envers les élus passé par cette APC en matières dites impopulaires, fausses promesses où ces derniers orienter exclusivement réservé aux gens proches «politiques, familles et amis».  «Entrer», ne faite aucun souci, nous n’avons rien à cacher, tapez sur la porte et voir s’il n y a personne dans mon bureau et rentrer, je reçoit tous le monde, qu’il soit jeune ou moins jeunes, vieux ou vieilles, employés : étudiants où la presse ». C’est avec  ce type de discours que le M. LAGHA nous a accueilli lors de notre tournée d’information le jeudi dernier dans son bureau situé au 2em étage de l’immeuble de l’assemblée populaire communale d’Aokas. L’heure du terminus a sonné devant le programme de ce groupe d’élus, M. Lagha. semble un peu déçu, puisque Mohamed a été 1er vice président de cette APC, mais il ne fait que chauffé la chaise de son bureau, de ce fait, s’engagea de faire d’Aokas un bon modèle pour que suivre toutes les communes du pays «j’aimerais bien faire, nous avons établis un programme pour notre ville mais hélas….Ce ne sont pas de vaines paroles,  je tiens à vous dire que nous mettrons toute notre professionnalismes et notre disponibilités au service de nos concitoyens, à démarrer par l’administration….la protection de l’environnement, le tourisme, la protection sociale, l’approchement et l'amélioration de la santé des populations dans les villages qui par ailleurs reste un défi majeur,  l’habitat rural,  notamment le gaz de ville, l’agriculture, sport et loisir et des projets d'urgences d'Infrastructure Urbaines. Aussi nous envisagerons de créer une commission sanitaires  et d'intervention en vue de la protection sanitaire des populations contre les gravités de la décharge publique. Nous savons que la population a supporté énormément ces nuisances du fait de sa proximité, nous ne resterons pas indifférents face à leurs détresses. Nous irons dans le sens de l'amélioration de leurs conditions de vies» a signifié M. Lagha. A une question de savoir sur l’avenir de habitants de la cité de recasement qui à chaque fois montent pour bloqué la RN 9 et la fermeture de l’abattoirs, M. Lagha a répondu que le problème des 9 familles réside au niveau de l’agence foncière de Bejaia, je pense qu’il a été réglé. Concernant l’abattoir, cela ne dépend pas de notre volonté, il a été fermé par décision du Wali que ce dernier a basé sur le rapport du service d’hygiène. Au sujet des projets d’utilité public et au vu des quartiers d’Aokas qui se dégradent de jour en jour et sont de plus en plus sales. Les rues, les artères et les façades des édifices du vieux Aokas sont dans un état désastreux, notre commandant se contente de dire que nous faisons ce que nous pouvons. «les projets de la ville n’ont connaissent jamais  un heureux aboutissent,  les autorités communale, en l’occurrence les maires passés  n’ont  rien fait dans ce sens». Ajoutent notre interlocuteur.
Enfin, même de l’avis des citoyens, que nous avons rencontré à notre sortie de l’APC, ces derniers partagent cet avis, ils reconnaissent que la ville n’a pas bénéficié de grand-chose. ils souhaitent que l’équipe dirigeante actuelle soit à la hauteur, mieux intégrée à la bonne gestion de la commune, surtout sur le plan social, comme exemple, limité la multiplication des «dépôts de boissons alcoolisées» et la présence en cascade c’est derniers temps des prostituées sur la vois publique, sources de …. Et de ce que nous appelons le centre de tous les dégâts sociaux. Ces phénomènes dangereux ont pollués nos villes et villages.